blond

blond est un chanteur à la voix claire et androgyne, qui nous parle de ses amours perdues, ses liens familiaux et son besoin impérieux d’exister. Inspiré par l’univers de Sébastien Tellier, Christine and the Queens ou encore Daft Punk, son timbre se mêle à des pianos mélancoliques portés par des rythmes chauds et entraînants.

Théodora

Theodora se lance dans la production et l’écriture avec deux EP’s Let Me In en 2016 et Obsession en 2017. Soucieuse de donner vie à des morceaux à la fois mélancoliques et dansants, elle travaille sur une musique équitablement organique et synthétique. Hybride et composite, la musique de Theodora n’en est pas moins homogène à l’image d’un album que l’on aborde d’un seul bloc. Too Much for one Heart, son premier album, est un cœur qui déborde d’histoires qu’il ne peut plus garder pour lui et que Theodora livre au monde sous la forme de ces morceaux accrocheurs et émouvants à la production ample.

Seth XVI

Multi instrumentiste, chanteur et producteur originaire de Lyon, Seth XVI est un artiste autodidacte complet qui conjugue les talents au présent. Après la parution d’un premier EP, Symbolic en 2017 salué par Nova ou FIP, un second EP Pulp et son single All My Friends aux 8 millions de streams, il revient en 2020 avec 7 titres autour du thème de l’enfance et de l’insouciance. Après avoir remporté le Ninkasi Musik Lab de Lyon, intégré les prestigieuses NovaTunes (Vol 3.6) et Kitsuné Parisian (Vol 4), Seth XVI continue poursuit ainsi l’exploration d’un univers en construction, et renforce la symbiose entre électronique et acoustique autour de sa voix, élément emblématique du projet.

Joko

Une voix bluesy sous une tignasse bouclée au carrefour de la danse et de la poésie : la pop française a trouvé sa muse! Joko s’impose comme une des artistes les plus attachantes et inspirées de la nouvelle scène électro : timbre ensorcelant, arrangements fabuleux, grâce et générosité en concert. Deux ans après Loon, premier EP lumineux porté par le tube Fools mais aussi U got, Joko revient avec I’ve never been good with words et nous propose un voyage en cinq titres au coeur de l’intimité, la sienne, la nôtre.

Sônge

Parce que chez Sônge, le phénomène neurologique qu’est la synesthésie associe spontanément la vue et l’ouïe. En témoigne la pochette de son disque Flavourite Câlâ. : turquoise, mauve, violet, noir, rose… La musicienne se transforme en Sphynx, des serpents venimeux à ses pieds, dans un décor à la fois tropical et mythologique… Ce tableau, on le retrouve à l’écoute de son album, où les éléments naturels, surtout l’eau, prédominent. Mémorable, festif malgré la mélancolie, jamais très loin. Avec Sônge, toutes les couleurs sont des couleurs chaudes, même les plus froides, et nous emportent dans leur tournoiement mélodique, rythmique, hypnotique.

Hanami

Hanami est un duo formé en 2017 par Maxime Lunel et Joachim Müllner. Le projet nait d’un désir commun d’une chanson française moderne sur des prods électroniques d’influences communes (James Blake, Bon Iver, Ry X, Atoms For Peace). Les compositions sont souvent mélancoliques et planantes, parfois dansantes. Les sonorités sont travaillées comme autant de textures. L’écriture est structurée par les émotions et sentiments que procure la pratique du Hanami, coutume ancestrale japonaise invitant à « aller voir la floraison des cerisiers ». Depuis le tumulte et l’agitation, à partir d’une analyse phénoménologique de notre condition d’Homo Sapiens Sapiens, de nos angoisses, de nos croyances, de nos représentations, le duo invite à retrouver l’essentiel, l’apaisement, le plaisir… À faire son Hanami. Le reste… S’écoute

Elisa Erka

Comédienne, Elisa Erka a décidé de mettre sa musique sous le feu des projecteurs. Pour chacune de ses chansons une base simple : le piano et ses voix. Elle créée des boucles avec un « looper », expérimente avec les sonorités ou les effets de voix et attache beaucoup d’importance aux mots, à la narration. Marquée par les paroles de Françoise Hardy, Barbara ou Jacqueline Taieb, Elisa Erka ne se voit pas uniquement comme une héritière traditionnelle des grandes dames de la chanson française. Ses oreilles sont aussi attirées par les sonorités rondes de la pop électronique de Polo & Pan, Jain, Angèle ou Clara Luciani. Après Corps Météo en 2019, elle sortira un nouvel EP en 2021.

Omar JR

Omar Jr est un groupe né de la rencontre d’El Nicolas des Casablanca Drivers et de Martin Luther BB King des Naive New Beaters. Il s’agit aussi du diminutif d’un homme haut en couleur dont le nom complet est Omar del Diego de la Paz Junior né au Japon et résidant actuellement au Mexique dans la province de Guerrero. Ils décident de rendre hommage à ce gourou sans secte au regard bleu agave en créant le premier groupe de Mezcal Pop au monde. C’est donc à travers une musique aux vertues ondulatoires nourrie de guitares fuzz tranchantes, de montées de synthé orgiaques soutenues par des boites à rythmes musclées et des lignes de basses directes comme les coups d’un lutteur de lucha libre qu’Omar Jr retracent les multiples péripéties qui amenèrent leur père spirituel du Japon au Mexique. Omar Jr nous offre un titre en featuring avec Samantha Urbani sur l’album du Perchoir.

EFA

Escape from Acapulco est un cocktail alliant pop, funk et musique électronique. Le nom du groupe est issu du mélange des deux titres de films Escape from New York de John Carpenter et Fun in Acapulco de Richard Thorpe. C’est de ce mélange que naît le son du groupe. Une ambiance film noir et SF omniprésente sur fond de pop acidulée en Technicolor. presque je-m’en-foutiste et Technicolor. “On vous laisse imaginer Elvis en slip de bain, un cocktail dans une main et le flingue de Han Solo dans l’autre”. Si les chansons parlent d’amour, de violence, de cliff diving ou de narcos, tous les personnages inventés font partie de cette toile, ce film fantastique imaginé à travers la musique. S’échapper d’Acapulco, c’est s’évader de l’image plus que dépassée d’une canette de Tropico. La ville figure sur la liste des plus dangereuses au monde, un paradis perdu qui malgré tout garde son image de carte postale.

Tiwayo

Sans rien savoir de Tiwayo, on pourrait lui imaginer un arbre généalogique improbable : fils caché de Janis Joplin et d’Otis Redding, cousin des Black Keys, neveu de Léonard Cohen. Nourrie par le blues, le gospel, la soul, le rock, le reggae des années 60 et 70, la voix de Tiwayo s’est forgée au fil des nuits blanches et des gigs dans le métro, sur la route aux Etats-Unis et en Europe. Avant même son 1er album, des grands l’ont adoubé puisqu’il a joué en première partie des Insus, Curtis Harding, Patrice et aujourd’hui les immenses Sting, Norah Jones, Seal ou Marcus Miller.